(T)ERRE Ziemia wedròwek

Dans le cadre du Festival „ Zròdła Pamięci – Kantor, Grotowski, Szajna” du Teatr Przedmiescie
le 17 octobre 2013 à 16h au Teatr Maska à Rzeszow en Pologne




Drame musical écrit par laboratoire théâtral Retour d’Ulysse

Mise en scène : Justine Wojtyniak
Musique jouée en direct sur scène : Stefano Fogher
Acteurs/ Personnages du rêve : Julie Gozlan, Mariola Odzimkowska, Georges Le Moal
Durée : 60 minutes




Dans son errance infinie, l’homme trouve parfois les lieux qui condensent son expérience du monde. Les personnages errantes, ou peut être la troupe des acteurs vagabonds, arrivent dans une maison mystérieuse à la lisière du rêve. Ils sont envoûtés par cette maison remplie de la musique insolite qui évoque les souvenirs. Ils jouent et rejouent les images-scènes de la vie humaine. Est-ce que ce sont les souvenirs de ces anciens locataires ? Les fantômes du lieu ?  Leurs réminiscences ou encore les intuitions d’une autre vie potentielle ?
Le temps d’existence de ce monde s’est concentré sur un fragment – entre la naissance et la mort. Il est le temps propre au perpétuel, incertain processus de s’en souvenir mais aussi la durée du rêve théâtral.
Est-ce que l’action se déroule dans l’imaginaire de quelqu’un parmi nous ? Quelqu’un la rêve ou s’en souvient ? Peut être c’est la musique, jouée sur scène comme destinée, invoque tout ce monde mystérieux, onirique selon une partition perdue depuis longtemps ?

Drame (T)ERRE est inspiré par une histoire vraie de la dernière maison de Maurice Maeterlinck- Villa Orlamonde, pour ainsi dire - Villa Hors le Monde. 

Les dates parisiennes suivront à la sortie de résidence au Théâtre A Les Lilas du 14 au 16 novembre 2013 et en 2014 à Maison Europe Orient . Au plaisir de vous y retrouver sur notre bout de terre poétique!!

Photos du spectacle en création (T)ERRE/ Anna Winkler



























(T) ERRE
Résidence des recherches théâtrales autour de la métaphore du voyage
du 1 au 7 avril 2013
dans un lieu perdu à la montagne





[...] Plus qu’à repartir. Où changer encore. D’où trop tôt revenus. Changés pas assez. Étrangers pas assez. à tout le mal vu mal dit. Puis revenir encore. Faibles de ce qu’il faut pour en finir enfin. Avec elle ses cieux et lieux. Et si encore trop tôt repartir encore. Changer encore. Revenir encore. Sauf empêchement. Ah. Ainsi de suite. Jusqu’à pouvoir en finir enfin. Avec tout le fatras. Dans la nuit continue. La pierre partout. Donc d’abord partir [...] Samuel Beckett, Mal vu mal dit (Les éditions de Minuit, 1981)